Si je t’aime vraiment

« Qui n’a jamais dit « je t’aime » à quelqu’un ? 
Pas grand monde sans doute, et pourtant qui aime vraiment en prononçant ces mots ?

« Je t’aime » est parfois une manière personnelle de se rassurer, une petite phrase lancée en harpon dans l’attente de l’affirmation réciproque ou d’un « moi aussi ».
Il n’y a donc souvent rien de gratuit dans cette déclaration qui s’apparente plus à une prise d’otage qu’à une expression de sentiments profonds.

Pour ma part :

Si je t’aime vraiment, mes sentiments pour toi n’ont rien de conditionnel et bien évidemment s’il m’arrive de te l’affirmer par pur plaisir, je n’attends rien en retour, même pas ton amour, car l’amour n’oblige pas à la réciprocité.

Si je t’aime vraiment, je n’attends pas que tu me rendes heureux, car je sais que mon bonheur n’appartient qu’à moi. Je n’attends rien de toi afin de mieux me laisser surprendre, afin de ne pas t’en vouloir un jour de ne pas m’avoir offert ce que tu ne m’as jamais promis.

Si je t’aime vraiment, je ne cherche pas à t’influencer ou à te changer. Je savoure ta liberté, conscient du privilège de pouvoir enrichir ma vie du reflet de l’être différent que tu es. Tes différences deviennent mes remises en question, mes défis personnels.

Si je t’aime vraiment, je ne chercherai jamais à te rendre dépendant(e) de moi afin que tu te sentes pleinement libre de tes gestes et de tes choix. 
Car si nos chemins se croisent, je dois être sûr qu’en aucun cas ce ne soit par intérêt ou obligation.

Si je t’aime vraiment, ma seule préoccupation à ton égard est de te savoir heureux/heureuse et épanoui(e).
Là où ton cœur te mènera, je me plairai à te regarder, à savourer tes joies, même si ton bonheur te distance un jour de mon chemin.

Ainsi je t’aime et je t’aimerai… »

_André Baechler

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 "Un vieil indien Cherokee et son petit-fils étaient assis près du feu et ils devisaient sur la vie.

Le vieil homme expliquait à l'enfant qu'à l'intérieur de chaque être humain, deux loups se livrent une bataille féroce.
Le premier représente la colère, le désespoir, le stress, le mépris, le dégoût, la peur, la honte, la culpabilité, la haine… tout ce qui nous rend tristes et nous coupe de la vie.
Le second représente au contraire ce qui nous rend heureux et enthousiaste : la gratitude, la sérénité, la curiosité, l'espoir, la capacité à jouer et à créer, l'inspiration, le respect et par-dessus tout, l'amour !

L'enfant réfléchit quelques secondes puis demanda à son grand-père :

- Mais lequel gagne ?

Le vieil homme réfléchit à son tour puis répondit calmement :

- Celui que tu nourris."

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On a demandé au Dalaï -Lama : "Qu'est ce qui vous surprend le plus dans l'humanité ?"

Il a répondu : "Les hommes... perdent la santé pour accumuler de l'argent, ensuite ils perdent de l'argent pour retrouver la santé. Et à penser anxieusement au futur, ils en oublient le présent de telle sorte qu'ils finissent par non... vivre ni le présent, ni le futur. Ils vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu."  

* 17.12.2014 : Extrait du livre de Marc Levy "le premier jour" : "il est une légende qui raconte qu'un enfant dans le ventre de sa mère connaiît tout du mystère de la Création, de l'origine du monde jusqu'à la fin des temps. A sa naissance, un messager passe au dessus de son berceau et pose un doigt sur ses lèvres pour que jamais il ne dévoile Le Secret qui lui fut confié, le Secret de la Vie. Ce doigt posé qui efface à jamais la mémoire de l'enfant laisse une marque. Cette marque, nous l'avons tous : au dessus de la lèvre supérieure."  

 

"le secret du Bonheur, c'est la Liberté, et le secret de la liberté, c'est le Courage"   

                      "Le chemin du bonheur n'est pas droit... il existe des virages nommés erreurs, des feux de signalisation nommés amis, des lumières de précaution nommées famille... tout se paye comme au péage, mais tout peut être accompli si tu as un pneu de rechange nommé décision, un puissant moteur nommé Amour,  et beaucoup de carburant nommé Patience... mais il te faut surtout un conducteur expert nommé Courage. "VivreHeureux.com" 

 

 "Apprendre à desirer tout ce que l'on a, ainsi nous avons tout ce que nous désirons"

 

"Les 10 commandements de l'enfant pour les parents

 Ce que vivent les enfants reste toute la vie…

Il est parfois bon de rappeler quelques conseils sages aux parents : souvenez-vous…

1. Mes mains sont petites ; ne vous attendez donc pas à la perfection quand je fais mon lit, quand je dessine ou que j’envoie un ballon. Mes jambes sont courtes ; ralentissez pour que je puisse vous suivre.

2. Mes yeux n’ont pas vu le monde comme vous ; laissez-moi l’explorer en toute sécurité, mais sans interdit inutile.

3. Il y aura toujours des choses à faire à la maison, mais moi je ne suis jeune que pour quelques années.
Prenez le temps de m’expliquer les choses, avec patience et bonne volonté. Ce monde semble si merveilleux!

4. Je suis fragile, même si je ne le montre pas. Soyez sensible à mes besoins, à ce que je ressens. Ne vous moquez pas de moi sans arrêt. Traitez-moi comme vous aimeriez être traité ou, mieux, comme vous auriez aimé être traité quand vous aviez mon âge.

5. Je suis un cadeau de la nature; traitez-moi s’il vous plait comme tel. Je suis responsable de mes actions, mais c’est vous qui me donnez l’exemple et convenez avec moi de règles – avec amour.

6. J’ai besoin de vos encouragements pour grandir. Mettez la pédale douce pour les critiques. Souvenez-vous: vous pouvez critiquer ce que je fais sans me critiquer, moi.

7. Donnez-moi le droit de prendre des décisions moi-même. Autorisez-moi à expérimenter l’échec, pour que j’apprenne de mes erreurs. De cette façon, je serai prêt à prendre plus tard les décisions que la vie me demandera de prendre.

8. S’il vous plaît, cessez de me comparer. Je suis unique. Si vous avez des attentes trop fortes pour moi, je ne me sentirai pas à la hauteur, et cela minera ma confiance en moi. Je sais que c’est difficile, mais ne me comparez pas à ma soeur ou à mon frère.

9. N’ayez pas peur de partir ensemble pour un week-end. Les enfants on eux aussi besoin de vacances, sans leurs parents tout comme les parents ont besoin de vacances sans leurs enfants. En plus, c’est une façon de nous montrer combien votre relation est forte et combien vous vous aimez.

10.Apprenez-moi la relaxation, la méditation ou la prière. Montrez-moi l’exemple en vous recueillant vous aussi. J’ai besoin moi aussi d’une dimension intérieure." Auteur inconnu.  

Conte SOUFI"Les oiseaux blancs et les oiseaux noirs"

Les hommes sont, les uns par rapport aux autres, comparables à des murs situés face à face. Chaque mur est percé d'une multitude de petits trous, où nichent des oiseaux blancs et des oiseaux noirs. Les oiseaux noirs, ce sont les mauvaises pensées et les mauvaises paroles. Les oiseaux blancs, ce sont les bonnes pensées et les bonnes paroles.

Les oiseaux blancs, en raison de leur forme, ne peuvent entrer que dans des trous d'oiseaux blancs; et il en va de même pour les oiseaux noirs qui ne peuvent nicher que dans des trous d'oiseaux noirs. Maintenant, imaginons deux hommes qui se croient ennemis l'un de l'autre. Appelons-les Youssouf et Ali.

Un jour, Youssouf, persuadé que Ali lui veut du mal, se sent empli de colère à son égard et lui envoie une très mauvaise pensée. Ce faisant, il lâche un oiseau noir et, du même coup, libère un trou correspondant. Son oiseau noir s'envole vers Ali et cherche, pour y nicher, un trou vide adapté à sa forme. Si, de son côté, Ali n'a pas envoyé d'oiseau noir vers Youssouf, c'est-à-dire s'il n'a émis aucune mauvaise pensée, aucun de ses trous noirs ne sera vide. Ne trouvant pas où se loger, l'oiseau noir de Youssouf sera obligé de revenir vers son trou d'origine, ramenant avec lui le mal dont il était chargé, mal qui finira par ronger et détruire Youssouf lui-même.

Mais, imaginons que Ali a, lui aussi, émis une mauvaise pensée. Ce faisant, il a libéré un trou où l'oiseau noir de Youssouf pourra entrer afin d'y déposer une partie de son mal et y accomplir sa mission de destruction. Pendant ce temps, l'oiseau noir de Ali volera vers Youssouf et viendra loger dans le trou libéré par l'oiseau noir de ce dernier. Ainsi les deux oiseaux noirs auront atteint leur but et travailleront à détruire l'homme auquel ils étaient destinés.

Mais une fois leur tâche accomplie, ils reviendront chacun à leur nid d'origine, car il est dit : "Toute chose retourne à sa source." Le mal dont ils étaient chargés n'étant pas épuisé, ce mal se retournera contre leurs auteurs et achèvera de les détruire. L'auteur d'une mauvaise pensée, d'un mauvais souhait ou d'une malédiction, est donc atteint à la fois par l'oiseau noir de son ennemi et par son propre oiseau noir, lorsque celui-ci revient vers lui.

La même chose se produit avec les oiseaux blancs: si nous n'émettons que des bonnes pensées envers notre ennemi alors que celui-ci ne nous adresse que de mauvaises pensées, ses oiseaux noirs ne trouveront pas de place où loger chez nous, et retourneront à leur expéditeur. Quant aux oiseaux blancs porteurs de bonnes pensées que nous lui aurons envoyés, s'ils ne trouvent aucune place chez notre ennemi, ils nous reviendront chargés de toute l'énergie bénéfique dont ils étaient porteurs.

Ainsi, si nous n'émettons que de bonnes pensées, aucun mal, aucune malédiction ne pourront jamais nous atteindre dans notre être. C'est pourquoi il faut toujours bénir, et ses amis, et ses ennemis. Non seulement la bénédiction va vers son objectif pour accomplir sa mission d'apaisement, mais encore elle revient vers nous, un jour ou l'autre, avec tout le bien dont elle était chargée. 

C'est ce que les Soufis appellent "l'égoïsme souhaitable". « Charité bien ordonnée commence par soi-même. » C'est l'Amour de Soi valable, lié au respect de soi-même et de son prochain, parce que tout homme, bon ou mauvais, est le dépositaire d'une parcelle de Lumière en tant qu'étincelle issue de l'Irradiation Divine. C'est pourquoi les Soufis, conformément à l'Enseignement du Prophète, ne veulent souiller ni leur bouche ni leur être, par de mauvaises paroles ou de mauvaises pensées, même par des critiques apparemment bénignes."

 

"Régles pour être(s) humain(s) - 

Un corps t'a été donné. Tu peux l'aimer ou le détester, mais ce sera le tien pour toute la durée de cette vie.

Tu vas apprendre des leçons. Tu es inscrit(e) dans une école informelle à plein temps appelée «Vie ». Chaque jour tu auras l'occasion d'apprendre des leçons dans cette école. Tu pourras aimer les leçons, ou penser qu'elles sont idiotes ou sans pertinence.

Il n'y a pas de fautes, seulement des leçons. La croissance est un processus d'essai et erreur : l'expérimentation. Les expériences « ratées » font tout autant part du processus que celles qui réussissent.

Une leçon sera répétée jusqu'à ce quelle soit apprise. Une leçon te sera présentée sous diverses formes, jusqu'à ce que tu l'apprennes. Quand tu l'auras apprise, tu pourras passer à la leçon suivante.

Apprendre des leçons ne finit jamais. Il n'y a pas de partie de «Vie» qui ne contienne de leçon. Si tu es en vie, il y a des leçons à apprendre.

« Ailleurs » n'est pas meilleur qu' « ici ». Quand ton « ailleurs » est devenu « ici », tu obtiens à nouveau un autre « ailleurs » qui a son tour te semblera meilleur qu' « ici ».

Les autres sont essentiellement des miroirs de toi-même. Tu ne peux aimer ou détester quelque chose chez autrui que si ce quelque chose reflète une chose que tu aimes ou que tu détestes en toi.

Ce que tu fais de ta « Vie » dépend de toi. Tu as tous les outils, toutes les ressources dont tu as besoin. Ce que tu en fais dépend de toi. Le choix t'appartient.

Tes réponses sont en toi. Les réponses aux questions de la « Vie » sont en toi. Tout ce qu'il te faut, c'est regarder, écouter et faire confiance.

A mesure que tu t'ouvres à cette confiance, tu te souviendras de plus en plus de tout ceci. Anonyme

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"Maître, à quoi sert un Maître ?"

- Maître, à quoi sert un Maître demanda, dans toute sa
> juvénile candeur, le moinillon au Père D'Evry
>
> Ce dernier sourit et répondit :
>
> - A rien et à tout... c'est lui qui t'enseigneC ce que
> tu sais déjà, qui te montre ce que tu as déjà vu."
>
> Ces paroles emplirent le disciple de confusion.
> Il réfléchit intensément et fronçant les sourcils,
> demanda :
>
> - Mais, Maître : à quoi peut me servir celui qui
> m'apporte ce que j'ai déjà ? Voulez vous dire que
> le Maître est inutile au disciple et que je suis à
> moi-meme mon propre guide ?
>
> - "Non, pas exactement. Considère cet exemple :
> n'as tu jamais été captivé par une toile de Maître ?
>
> - Si, je me souviens d'un tableau accroché au dessus
> de l'autel, dans la Chapelle de monsieur mon père.
> Un magnifique coucher de soleil peint par un artiste
> italien de renom... dont j'ai d'ailleurs oublié le nom !
>
> - Qu'est ce qui t'intéressait tant dans ce tableau ?
>
> - Je ne sais pas... la finesse des détails, les couleurs,
> une impression générale. Comme si j'avais devant moi un
> modèle de coucher de soleil.
>
> - Mais n'as tu jamais vu auparavant de coucher de
> soleil ?
>
> - Bien sûr que si, mais en moins réel.

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"Le chemin du Bonheur"

le chemin du bonheur n'est pas droit... Il existe des virages nommés erreurs, des feux de signalisation nommés amis, des lumières de précaution nommées famille... Tout se paye comme au péage, mais tout peut être accompi si tu as un pneu de rechange nommé décision, un puissant moteur nommé amour, et beaucoup de carburant nommé patience... Mais il te faut surtout un conducteur expert nommé courage". www.vivreheureux.com